La tempête blanche se lève.
Et les champs, les bois, les toits s’effacent devant l’éternel.
Les drus flocons papillonnent. Un vent glacial tourbillonne,
ébouriffant la peau, mordant la chair et réveillant les os.
Il est temps de rentrer, d’allumer un bon feu de joie,
de conter les hivers d’antan que nous rappelle le souffle présent.
L’hiver, enfin, revient.
Oraura